roman en vers
Paris,
Gallimard,
1955,
187 pages
Entre l’azur sans fronce et l’autre azur sans ride,
Une ile grecque où blé ne pousse, ni muscat,
détesterait ses jours, pareils à du mica,
sans ses arbres rompant sa nudité torride.Douze arbres un par un tout le temps recomptés
l’orgueil et le plaisir des hommes de cette île,
contre le sec vernis du soleil infertile
défendent les bontés et les fécondités.